Le chewing-​​gum, votre nouvel allié minceur ?


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Le chewing-​​gum, votre nouvel allié minceur ? C’est aller un peu vite en besogne. Même si certains usent et abusent de titres bien racoleurs histoire de générer un maximum de clics, il ne vous suffit pas de mâcher du chewing-​​gum pour perdre du poids. Ça serait un peu trop facile, non ?

Pixabay

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La seule chose qui ressort vraiment de l’étude japonaise dont tout le monde parle, c’est que mâcher un chewing-gum en marchant augmenterait le rythme cardiaque. Chez les hommes de plus de 40 ans, cette mastication les inciterait, sans même qu’ils ne s’en rendent compte, à marcher plus vite et donc à couvrir plus de distance. Principale conséquence : davantage de calories brûlées.

«Combiner exercice physique et gomme à mâcher pourrait être une manière efficace de gérer son poids», ont écrit les auteurs de cette étude dans la revue spécialisée « Journal of Physical Therapy Science ».

Et même s’ils n’ont pas réussi à vraiment expliquer le phénomène ils ont évoqué dans leurs conclusions l’effet possible d’une «synchronisation cardio-motrice»…


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Mais il ne faut pas se leurrer pour autant…. Mâcher du chewing-gum n’est pas la solution miracle pour perdre du poids.

Pour perdre les quelques kilos superflus qui vous gâchent la vie, il n’y a ni secret, ni recette miracle : il faut adopter une bonne hygiène de vie en rééquilibrant son alimentation et en pratiquant une activité physique régulière.

Surpoids et obésité  associés à huit nouveaux types de cancer

Les scientifiques ont plusieurs fois associés surcharge pondérale à certains types de cancer. On pense notamment au cancer du colon, du rectum, de l’œsophage, des reins, du sein…etc). Plus récemment une étude a révélé que l’excès de poids était désormais associé sur le long terme à huit autres types de cancers.

Ces résultats ont été le fruit d’une nouvelle évaluation effectuée par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) . Avant d’en arriver à cette conclusion, les scientifiques ont analysé plus de 1.000 études déjà publiées sur le sujet et portant donc sur les effets du surpoids et le risque de cancer.

Une analyse qui a permis de révéler que la surcharge pondérale était aussi associée à un risque accru de cancer de l’estomac, du foie, de la vésicule biliaire, du pancréas, des ovaires et de la thyroïde.

« Le risque de méningiome et de myélome est également supérieur chez une personne en excès de poids » a ajouté le CIRC dans ses conclusions.

Et parce qu’une mauvaise nouvelle n’arrive jamais seule, les chercheurs ont précisé que l’excès de poids avait malheureusement les mêmes conséquences chez les enfants et/ou adolescents.

« Le fardeau du cancer dû au surpoids ou à l’obésité est beaucoup plus important que ce que l’on pensait auparavant » a déclaré Graham Colditz, président du groupe de travail du CIRC. Et de rajouter qu’une bonne hygiène de vie (alimentation équilibrée, une stabilité pondérale et de l’exercice physique…) pouvait réduire de manière sensible le risque de développer un cancer.