« Capital » et « Enquête exclusive » du dimanche 24 octobre 2021 : au sommaire de vos magazines ce dimanche soir


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« Capital » et « Enquête exclusive » du dimanche 24 octobre 2021. Ce dimanche soir sur M6 vous avez rendez-vous avec vos deux magazines d’information « Capital » puis « Enquête exclusive ». Egalement en replay sur 6PLAY. Nous vous proposons d’en découvrir le sommaire et les reportages.

« Capital » et « Enquête exclusive » du 24 octobre 2021
© Nicolas BETS/M6

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« Capital » et « Enquête exclusive » du dimanche 24 octobre 2021 : sommaire et reportages

« Capital » dès 21h05 :  les secrets des champions du discount

Action : les recettes du bulldozer des super prix

Avec 606 magasins ouverts en France en neuf ans, ce discounter hollandais, spécialisé dans le bazar, est la terreur de la grande distribution et des magasins de quartier à mini-prix. À chaque ouverture, les mêmes queues interminables à la caisse grâce à des tarifs jamais vus parmi la concurrence. Un tiers des produits est vendu moins d’un euro et on trouve des marques de lessives ou de shampoings jusqu’à 30% moins chères que dans la grande distribution. Et pour appâter les clients et les faire revenir régulièrement, cent-cinquante nouveautés à prix cassés sont proposées chaque semaine. Avec 5,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires, le mastodonte Action dynamite le secteur du bazar en France. Quelles sont ses recettes et ses secrets ? Comment parvient-il à obtenir les prix les plus bas du marché ? Y fait-on systématiquement de bonnes affaires ?

Ventes privées ou villages de marques : qui gagnera la bataille des prix déstockés ?


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-30%, -50% et jusqu’à -70% sur les marques préférées des Français, voilà le genre de rabais sur les étiquettes qui fait chavirer les consommateurs et s’affronter deux circuits géants de déstockage. D’un côté, les pionniers du genre, ces magasins d’usines devenus des villages de marques, comme Marques Avenue, Mac Arthur Glenn ou Neinver. De l’autre, les rois des ventes privées en ligne, de Veepee à Brandalley, jusqu’aux nouveaux venus comme The Bradery. Pour eux, cette année, la crise du Covid a peut-être du bon. Avec ces confinements à répétition, jamais les enseignes traditionnelles n’ont autant croulé sous les stocks d’invendus de vêtements, de chaussures, ou d’objets de décoration… Dans cette bataille entre professionnels des soldes permanentes, comment se joue la différence ? Pour vous attirer, ces « outlets » misent sur un accueil digne des meilleurs centres commerciaux. Restaurants, loisirs, tout est fait pour transformer cette chasse aux bonnes affaires en un pur shopping de loisirs.

DACIA : Les paris fous du roi de la voiture low cost

Une voiture électrique neuve à 16 800 euros ? Ne cherchez pas : il n’y pas moins cher sur le marché… Un exploit signé Dacia, avec son nouveau modèle Spring livré dès octobre. Autre exploit pour la marque la plus dynamique du groupe Renault : sa citadine Sandero est la voiture la plus vendue aux particuliers en France depuis la première Logan, sortie il y a plus de quinze ans maintenant. Une fabuleuse success story ! Et pourtant à l’origine, personne ne croyait au low coast automobile en France. C’est à la fin des années 90 que Renault rachète la marque roumaine avec l’idée de vendre des modèles à bas prix dans les pays émergents. Mais très vite, c’est en France et en Europe que les ventes décollent avec près de six millions de voitures déjà écoulées dans quarante-quatre pays. Dacia devient alors la pépite du Groupe Renault. Décriés au départ pour leur côté basique, les modèles Dacia sont plébiscités pour ces mêmes raisons aujourd’hui : un look sans chichi, une conception rustique mais robuste, et bien sûr un prix plancher. Quelle est donc la formule magique de Dacia pour sortir des modèles neufs au prix de l’occasion ? Où se cachent les économies ? Comment cette marque considérée « cheap » au départ a-t-elle su se rendre désirable et devenir un phénomène avec une communauté de fans très active ?

« Enquête exclusive » dès 23h10 : Marseille : quand la drogue prend le pouvoir

À Marseille (Bouches-du-Rhône), les mois de juillet, août et septembre ont été les plus meurtriers de l’histoire de la cité phocéenne. Quinze morts dans des fusillades sur fond de trafic de stupéfiants, principalement dans les quartiers nord où les gangs se livrent une guerre sans merci pour contrôler le marché de la drogue. Car à Marseille, les enjeux économiques sont énormes. Le trafic de stupéfiants, qui représente plus de trente millions d’euros par mois, se répand aujourd’hui dans toute l’économie locale. Investissements immobiliers, blanchiment d’argent, boutiques de luxe, clubs de sports, instituts de beauté, tous les secteurs en profitent. Peu à peu, la drogue a pris le pouvoir dans la cité phocéenne.

Pendant plusieurs mois, nos équipes ont suivi, nuit et jour, les hommes de la police marseillaise, de l’Office antistupéfiants et des brigades spécialisées de terrain (BST). Techniques de harcèlement, opérations « coup de poing », ces unités d’élite mettent tout en œuvre pour lutter au quotidien contre ces réseaux criminels qui gangrènent la ville. Une de leurs missions : démanteler les points de vente (environ deux-cents au cœur des cités), dont certains génèrent près de 100 000 euros par jour. Rien qu’au premier semestre 2021, les policiers ont arrêté 8 000 trafiquants de drogue. 60% d’entre eux avaient des armes, souvent des armes de guerre.

Pour comprendre l’organisation de ces gangs qui ont transformé les quartiers nord en empires du crime, nos journalistes ont rencontré certains de leurs membres. Ils appartiennent à des structures très hiérarchisées, gérées comme de véritables entreprises. Mais ici, la mort n’est jamais loin. Parmi la liste des cadavres qui s’accumulent, on compte aussi des innocents. Certaines familles endeuillées, meurtries à jamais, ont ainsi perdu un proche, victimes collatérales d’une guerre des gangs qui n’a jamais fait couler autant de sang à Marseille.