Les Français maintiennent leurs habitudes d’hygiène bucco-dentaire malgré la pandémie de COVID-19


ANNONCES

Les Français maintiennent leurs habitudes d’hygiène bucco-dentaire malgré la pandémie de COVID-19. Mais la crainte, largement partagée, d’une contamination par le virus chez le dentiste est une source d’inquiétude pour la prévention et la prise en charge des pathologies.

habitudes d’hygiène bucco-dentaire
AlbanyColley/Pixabay

ANNONCES

A l’occasion de la journée mondiale de la santé bucco-dentaire le 20 mars prochain, GSK Santé Grand Public, spécialiste mondial des produits de santé grand public, dévoile une étude sur l’impact de la pandémie de COVID-19 sur les pratiques d’hygiène bucco-dentaire en Europe. Le groupe se donne pour mission d’alerter et de sensibiliser aux bonnes pratiques de soins bucco-dentaires au quotidien.

Habitudes d’hygiène bucco-dentaire en plein crise sanitaire

En France, plus qu’ailleurs en Europe, les pratiques quotidiennes se maintiennent voire s’améliorent

En matière d’hygiène :


ANNONCES

– 9 Français sur 10 (89%) déclarent avoir maintenu leurs habitudes de brossage dentaire quotidiennes depuis le début de la pandémie

– 8% déclarent se brosser les dents plus fréquemment, principalement par volonté de compenser un sentiment de mauvaise haleine lié au port du masque

– Les jeunes sont plus attentifs que leurs ainés : chez les 18-29 ans, ils sont 16% à déclarer se brosser davantage les dents

– Dans leur grande majorité (85%), les utilisateurs de brosses à dent manuelles affirment que la pandémie n’a pas impacté la fréquence à laquelle ils les renouvèlent. 12% déclarent les renouveler plus fréquemment qu’avant la crise sanitaire

Par ailleurs, à la différence de certains de leurs voisins européens, les Français affirment pour la majorité d’entre eux n’avoir pas pris de mauvaises habitudes alimentaires pendant la pandémie :

– 12% des Français déclarent boire plus de thé ou de café contre 35% des Anglais et 22% des Espagnols

– 10% des Français admettent consommer plus de snacks contre 30% des Anglais et 20 % des Espagnols

– 8% disent consommer plus de sucreries ou confiseries contre 22 % des Anglais, 13 % des Allemands

Romana Jourdren, Directrice générale de GSK Santé Grand Public France commente : « Dans l’ensemble, les habitudes d’hygiène bucco-dentaires des Français ont peu évolué avec la pandémie. En dépit de l’anxiété liée à la Covid-19, ils n’ont pas véritablement ressenti la nécessité d’un effort supplémentaire en matière de soin mais ont néanmoins conservé leurs bonnes habitudes. Dans le même temps, leur consommation alimentaire s’est également révélée très stable : à la différence de certains de leurs voisins européens, ils n’ont pas accru leurs consommations de café, d’alcool ou de produits sucrés, ce qui a certainement été bénéfique à leur santé bucco-dentaire. »

La peur de contracter la COVID-19 chez le dentiste : une menace pour la prévention et le soin des pathologies bucco-dentaires

Plus préoccupante pour la santé bucco-dentaire est l’appréhension éprouvée par les Français à la perspective d’une visite chez le dentiste, par crainte notamment de la contamination à la Covid-19 : ce sentiment d’inquiétude est partagé par plus d’un tiers des Français (35%) et une part non-négligeable d’entre eux préfère même retarder leurs soins.

En effet, l’étude révèle que :

– 14% des Français rendent moins visite à leur dentiste qu’avant la crise sanitaire

– 61% des Français prévoient de se rendre chez leur dentiste dans les 6 prochains mois, mais 35% se déclarent « inquiets » à cette perspective. 17% des Français se disent même « très ou extrêmement inquiets »

– Cette inquiétude est notamment liée à la peur de contracter le virus de la COVID-19 : pour un tiers des personnes inquiètes (33 %) craignent d’être contaminés par les instruments dentaires utilisés pour les soins, 24 % redoutent ne pas pouvoir respecter les distances sanitaires dans la salle d’attente

– Outre la peur de la contamination, le prix de la consultation reste également un frein pour 38% des Français exprimant une inquiétude

Selon Cédric Perry, Directeur commercial Pharmacie de GSK Santé Grand Public France : « L’inquiétude, largement partagée, à la perspective d’une visite chez le dentiste est un sujet de préoccupation qui ne doit pas être occulté. Les dentistes jouent un rôle crucial dans la prévention des affections bucco-dentaires et le suivi des soins et des besoins. C’est un sujet auquel les Français devraient être sensibilisés pour préserver leur bonne santé bucco-dentaire et s’assurer plus largement une bonne hygiène de vie. »

Les Français, en retard sur l’adoption de produits complémentaires d’hygiène bucco-dentaire par rapport à leurs voisins européens

Même si 84% des Français considèrent que la santé bucco-dentaire bénéficie plus largement à leur santé, ils disent utiliser moins de produits d’hygiène bucco-dentaire complémentaires ou spécialisés que d’autres pays Européens et se concentrent essentiellement sur le brossage des dents.

En effet :

– 30% des Français pratiquent rarement ou jamais le bain de bouche, contre 21% des Allemands et 13% des Espagnols

– Seulement 17% des Français souffrant de problèmes bucco-dentaires identifiés font usage de dentifrices spécialisés, contre 31% des Anglais et 25% des Espagnols

« Alors que l’accès aux soins se complique avec la pandémie et ses inquiétudes, il est important de rappeler les bonnes habitudes à adopter à la maison en matière d’hygiène bucco-dentaire. En tant que spécialiste mondial des produits de santé grand public, GSK Santé Grand Public souhaite contribuer à l’occasion de La Journée mondiale de la santé bucco-dentaire à mettre en lumière les solutions de santé recommandées par les experts qui ont besoin d’être davantage portées à la connaissance des Français », conclut Romana Jourdren.

Méthodologie : L’étude GSK Santé Grand Public – IPSOS sur la santé bucco-dentaire a été réalisée auprès de 4 500 personnes dans cinq pays européens (France, Allemagne, Royaume-Uni, Espagne et Russie) et quatre pays d’Asie du Sud-Est (Indonésie, Philippines, Singapour et Thaïlande). Dans chaque pays, un panel représentatif de 500 personnes âgées de plus de 18 ans a été interrogé. L’enquête a été menée en ligne entre le 17 et le 26 février 2021.