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« Enquête exclusive » du 13 décembre 2020 : au sommaire cette semaine « Fêtes, bars et restos clandestins : les rebelles du COVID »

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« Enquête exclusive » du 26 mai 2024

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« Enquête exclusive » du 13 décembre 2020. Ce soir, en seconde partie de soirée, retrouvez le magazine de Bernard DE LA VILLARDIÈRE « Enquête exclusive ». Après que Jean Castex ait annoncé jeudi soir que le déconfinement ne serait pas tout à fait celui espéré, il aura pour thème cette semaine : « Fêtes, bars et restos clandestins : les rebelles du COVID »

Attention il est déconseillé aux moins de 10 ans.

« Enquête exclusive » du 13 décembre 2020
© Benjamin DECOIN/M6

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Rendez-vous à partir de 23h10 sur M6 ou sur 6play pour voir ou revoir ce numéro en replay et streaming gratuit.

« Enquête exclusive » du 13 décembre 2020 : sommaire

Face à la fermeture des bars, des restaurants, des salles de sport et à l’interdiction d’organiser des soirées festives, de plus en plus de Français ont décidé de se rebeller. Partout, dans l’hexagone, la résistance s’organise au mépris de la loi et des risques sanitaires. Les équipes d’Enquête Exclusive ont enquêté sur ceux qui prennent tous les risques.


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Au cœur de Paris, de nombreuses soirées clandestines sont organisées, annoncées sur les réseaux sociaux avec communication de l’adresse à la dernière minute. Le week-end dernier, trois-cents fêtards se sont retrouvés dans les sous-sols de la capitale, pour faire la fête jusqu’au petit matin. Mot d’ordre : bas les masques. Risque pour les organisateurs : un an de prison et 15 000 euros d’amende. En banlieue parisienne, certains bars à chicha restent ouverts. Avec, en prime, un écran géant pour permettre à leurs habitués d’assister aux matchs de foot de la ligue 1. Nos équipes ont aussi tourné dans des bars dansants, avec des clients de tous les âges. Les patrons de ces établissements, estimant que leur survie économique est en jeu, nous expliquent comment ils organisent et gèrent cette clandestinité.
À Marseille, de nombreux restaurateurs proposent mieux que le « click & collect ». Bravant tous les interdits, ils laissent ouverts leurs établissements, proposant des créneaux horaires à leurs clients. Au Pays basque, certains commerçants préfèrent le rapprochement à la distanciation. Malgré la réouverture de la plupart des boutiques, ils ont décidé de ne pas respecter les 8m² de séparation obligatoire entre deux clients. Et qu’importe si les boutiques sont bondées.

Au Cap-d’Ail (Alpes-Maritimes), une partie de la population a trouvé un moyen imparable pour contourner les règles. Il suffit de traverser la rue. La ville est collée à Monaco, là où les restaurants et les bars sont toujours ouverts. De nombreux commerçants du Cap-d’Ail crient au scandale face à une telle hypocrisie du système. Quant à Loïc, dont le garage est situé dans une rue à cheval entre les deux villes, il est toujours resté ouvert et se rend chaque week-end en famille à Monaco.

Quant aux salles de sports, certaines ont trouvé la combine : demander à leurs adhérents de fournir de faux certificats médicaux, les autorisant à pratiquer le sport en salle.

Ceux qui refusent de se cacher s’évadent à l’étranger, là où il n’y pas d’interdit. Une bande d’amis, appartenant à la jeunesse dorée, a déjà pris ses billets, direction Dubaï, pour participer à une grande soirée sur un yatch privé. Là-bas, ils sont sûrs de faire la fête sans restriction, et surtout sans limite…

Bars, restaurants, salles de sport… Malgré les fermetures obligatoires, certains établissements transgressent la règle pour continuer à ouvrir, en toute clandestinité. Les équipes d’Enquête Exclusive les ont rencontrés.


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