Bonbons à la réglisse : une mise en garde contre les risques cardiaques


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Hummm…. les délicieux bonbons à la réglisse que voilà. Ils vous font saliver ? Oui mais attention à ne pas trop en abuser ! En même temps c’est valable pour tous les aliments et/ou boissons que nous consommons pas vrai ?

Mais revenons-en à nos bonbons à la réglisse qui, en plus de nous ni*** les dents et de faire exploser notre consommation de sucre, seraient aussi mauvais pour notre coeur. Et c’est la très sérieuse Food and Drug Administration (ou FDA, administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments, ndrl) qui l’affirme dans le cadre d’une étude menée à l’occasion d’Halloween, la fête du bonbon par excellence !

bonbons
Pixabay

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Figurez-vous que ces bonbons seraient de véritables bombes à retardement en raison de la présence d’acide glycyrrhizique, un édulcorant qui aurait la faculté d’entraîner une baisse du taux de potassium dans le corps avec pour principale conséquence une augmentation de la pression artérielle. Et qui dit augmentation de la pression artérielle, dit aussi risques d’arythmie, d’insuffisance cardiaque, etc…

Et ne croyez pas qu’il faille se « gaver » de ces bonbons pour en arriver là. Selon les chercheurs de faibles quantités seraient en effet suffisantes pour augmenter les risques.


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Dans ses conclusions, la FDA se montre d’ailleurs on ne peut plus claire ! Au delà de 40 ans, et pour toutes les personnes ayant déjà eu des antécédents cardiaque, elle préconise une consommation d’à peine 56 grammes par jour, soit 2 ou 3 bonbons qui se courent après.

Et parce qu’une mauvaise nouvelle n’arrive jamais seule, notez qu’elle met en gardecontre l’interaction entre ces bonbons à la réglisse et certains médicaments ou plantes médicinales.

De bonbons contiendraient des nanoparticules dangereuses pour la santé

Et puisqu’on parle bonbons, revenons un instant sur cette étude publiée l’an dernier et selon laquelle tous les bonbons ou presque contiendraient des nanoparticules dangereuses pour la santé. Elle avait été publiée en octobre 2016 juste avant la fête d’Halloween.

Menée par l’association « Agir pour l’environnement », elle avait pour objectif d’estimer au mieux la quantité de confiseries contenant des additifs alimentaires susceptibles de contenir des nanoparticules, majoritairement le dioxyde de titane (colorant E171).

Et le résultat avait été pour le moins inquiétant ! Retour sur cette étude en cliquant ICI