« Les routes de l’impossible » du 21 août 2024 : quelles destinations ce soir sur France 5 ?

« Science Grand Format » du 19 septembre 2024
capture écran

ANNONCES

« Les routes de l’impossible » du 21 août 2024 : quelles destinations ce soir sur France 5 ? Ce mercredi soir votre magazine « Les routes de l’impossible » vous donne rendez-vous pour deux numéros dont un inédit. Rendez-vous dès 21h05 sur la chaîne ou en streaming vidéo puis replay sur la plateforme France.TV pour les aventures incroyables d’hommes et de femmes qui se battent avec courage pour gagner leur vie.


ANNONCES

À propos

Cette saison, direction la Mongolie, les Balkans, l’Alaska, le Zanskar, la Thaïlande.


ANNONCES

Cette série du bout du monde raconte les aventures incroyables d’hommes et de femmes qui se battent avec courage pour gagner leur vie. Des déserts glacés au sable chauffé à blanc par le soleil, en passant par des précipices sans fond, leur vie ne tient qu’à un fil mais tous bravent les obstacles avec la détermination de ceux qui n’ont pas le droit d’échouer.

« Les routes de l’impossible » du 21 août 2024

« Alaska, les aventuriers du froid » dès 21h05

Un désert blanc et des fleuves gelés pour remplacer les routes. L’Alaska, « la dernière frontière », est la terre des extrêmes. En hiver, le thermomètre peut descendre à -50 degrés. Dans son pick-up, Richard a toujours une perceuse à portée de main. Il peut ainsi creuser la glace pour en mesurer l’épaisseur, un moyen d’éviter de tomber à l’eau en roulant dessus. Chaque année, l’hiver transforme le fleuve Kuskokwim en une autoroute de glace, une voie de communication risquée mais essentielle pour les habitants. L’autre piste, la plus importante pour l’économie de la région, est celle qui file au-delà du cercle polaire arctique et dessert les puits de pétrole de Prudhoe Bay. Les 700 km de la Dalton Highway sont la bête noire des routiers américains. Avalanches et plaques de glace sont une menace permanente. Pour les pilotes d’avion et les chercheurs d’or, l’un des pires dangers est le blizzard. En hiver, de nombreux villages ne sont accessibles que par les airs. De jeunes pilotes, tel que Matt, 27 ans, débarquent chaque année en Alaska avec des envies d’aventure plein la tête. Leur adresse et leur énergie permettent aux habitants de se déplacer ou de se ravitailler. Les chercheurs d’or doivent quant à eux Scott plonger sous la glace, dans une eau à -1 °C, au beau milieu de la mer de Bering. À Nakapiak, la fonte trop rapide des glaciers et du permafrost menace la vie quotidienne.

Juste après

Dès 21h45, rediffusion du numéro « Éthiopie, au cœur de la fournaise. »

Embarquement pour l’Éthiopie, à la rencontre d’hommes et de femmes qui se déplacent quotidiennement au péril de leur vie pour travailler.

Aridité à perte de vue, fumerolles de souffre, rivières d’acide… Au nord-est de l’Éthiopie, le désert Danakil est l’un des endroits les plus inhospitaliers de la planète. Pourtant, et malgré la température qui frôle parfois les 50°C à l’ombre, des hommes s’y aventurent régulièrement pour arracher à la terre de quoi survivre. Car, dans ce milieu hostile, on trouve une denrée très recherchée… si l’on est prêt à accepter de travailler dans des conditions inhumaines. Certains n’ont pas vraiment le choix. Pour 2 € par jour, ils prélèvent à la pioche des blocs de sel qu’ils acheminent ensuite à dos de chameau. Il leur faut encore trois jours de marche avant de pouvoir écouler la précieuse marchandise en ville. L’un d’eux résume ainsi sa vie : « Je découpe des morceaux dans le sol, je sors la plaque d’eau salée, je la nettoie et après je la vends au tailleur. Je fais ce métier depuis 18 ans et je ne m’arrête jamais car j’ai six enfants à nourrir […] ; mais c’est dur. Il fait très chaud, le soleil nous brûle et le sel nous ronge les yeux, la peau des mains et des pieds ».

Ailleurs en Éthiopie, loin du désert, ce ne sont plus les camélidés qui servent de moyen de transport à la population. Sur les routes, rarement goudronnées et parmi les plus dangereuses au monde, des camions d’un autre âge entassent à l’arrière autant de passagers que possible, moyennant finances. Beaucoup voyagent ainsi debout des heures durant, risquant de surcroît de passer par dessus bord au moindre freinage intempestif. Ceux qui choisissent la voie ferrée ne sont pas mieux lotis. Les rails, comme le train datent de l’inauguration de la ligne en 1917, les wagons n’offrent aucun confort ni sécurité et sont même dépourvus de manettes d’arrêt d’urgence. Et malgré l’absence de portes et de vitres aux fenêtres, les usagers doivent faire face à l’intérieur à une chaleur étouffante. Quant à la locomotive, elle tombe en panne plus souvent qu’à son tour, obligeant les uns à des attentes interminables allant jusqu’à plusieurs jours, et les plus intrépides à finir le voyage à pied.

« Les routes de l’impossible » en replay

Retrouvez également votre programme en streaming vidéo puis replay sur France.TV