« Capital » du 19 novembre 2023 : au sommaire ce soir sur M6  » Fraude, vol, argent non déclaré : la chasse aux abus est ouverte » (vidéos)


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« Capital » du 19 novembre 2023 : au sommaire ce soir sur M6  » Fraude, vol, argent non déclaré : la chasse aux abus est ouverte » (vidéos). Ce dimanche soir sur M6, vous avez rendez-vous avec votre magazine « Capital » présenté par Julien Courbet. Egalement en replay sur 6PLAY. Découvrez-en maintenant le sommaire et les reportages…

« Capital » du 19 novembre 2023
© Benjamin DECOIN/M6

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« Capital » du 19 novembre 2023

Fraude, vol, argent non déclaré : la chasse aux abus est ouverte

RSA, soins médicaux, arrêts de travail : la traque aux fraudeurs est déclarée !
470 milliards d’euros, soit 7 230 euros par personne, c’est le montant astronomique des prestations sociales reversées aux Français en 2022 ! Ce modèle de protection qui nous permet de faire face aux aléas de la vie comme la maladie, la vieillesse ou la pauvreté, le monde entier nous l’envie. Mais il y a un revers : ce système est aujourd’hui la cible des fraudeurs. Revenu de solidarité active (RSA), arrêts de travail, remboursements de soins, ces prestations sont détournées par de simples particuliers, des professionnels de santé ou même des bandes organisées aux méthodes redoutables. Le préjudice estimé se monte au minimum à 16,5 millions d’euros chaque jour ! Capital a enquêté pendant des mois pour comprendre comment tant d’argent public s’évapore chaque année. Quelles sont les nouvelles ruses des escrocs et quelles sont failles du système qu’ils exploitent ? Deux organismes, la Caisse d’allocations familiales (CAF) et l’Assurance Maladie, luttent en priorité contre cette fraude massive. Nous avons suivi le travail de leurs contrôleurs dans leur traque jusqu’au cœur des arnaques. À la clé, des centaines de millions d’euros à récupérer. Quels sont leurs moyens d’investigation ? Et sont-ils vraiment efficaces ?

Argent liquide : révélations sur les secrets des pros du « black »


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« Est-ce qu’on peut s’arranger ? ». Cette simple phrase est devenue la formule magique – et illégale – pour faire des économies sur le dos de l’État. Avoir recours au travail non déclaré permet à l’employeur et au travailleur de payer aucune charge sociale ou salariale et donc de faire baisser les prix d’un service ou d’un bien. À condition bien sûr de régler en liquide pour ne laisser aucune trace. Artisans, commerçants ou professions libérales, tous les secteurs sont concernés. Et les sommes en jeu peuvent donner le vertige. Chaque année, l’État perdrait ainsi quelques 100 milliards d’euros de rentrées fiscales, plus que le budget de l’Éducation nationale. Mais il n’est pas facile de confondre et condamner les dizaines de milliers de tricheurs qui chaque jour profitent de cet argent non déclaré. Vous allez découvrir de l’intérieur quelles sont leurs méthodes surprenantes pour frauder l’État sans se faire attraper! Et comment les inspecteurs des impôts enquêtent pour détecter les fraudes.

Vols : les nouvelles armes « anti-fauche » des magasins

Face à l’inflation galopante, les consommateurs qui décident de ne plus passer à la caisse sont de plus en plus nombreux. L’an dernier, les vols dans les supermarchés et les petits commerces ont augmenté de 14 % selon le Ministère de l’Intérieur.

Dans les supermarchés, ce sont des produits du quotidien qui sont ciblés : viandes, lait maternel, boîtes de conserve ou encore surgelés. Pour préserver leur rentabilité, les commerçants investissent dans de nouveaux dispositifs antivols : bip spécial pour produit alimentaire, chariot connecté et même système de détection des mouvements suspects filmés par des caméras de vidéosurveillance. À Lille (Nord) ou à Cannes (Alpes-Maritimes), les gérants de boutiques ouvrent des groupes de discussion Whatsapp, partagés avec des policiers pour échanger en temps réel les photos de voleurs présumés ou pris en flagrant délit. L’objectif : raccourcir les délais d’interventions pour sanctionner directement les coupables. Car depuis août dernier, le vol à l’étalage est passible d’une amende forfaitaire de 300 euros. Mais dans les faits, la mesure est encore très rarement appliquée, alors certains commerçants excédés n’hésitent plus à afficher les photos de leurs voleurs, appliquant le « name and shame », une méthode américaine de dénonciation publique illégale chez nous.

Vidéos : extraits

– Toucher le RSA frauduleusement serait possible…Alors est-ce une arnaque ou une véritable faille du système ?

– Bande-annonce : RSA, soins médicaux, arrêts de travail… la traque aux fraudeurs est déclarée ! Travail au noir, argent non-déclaré… des milliards d’euros échappent à l’État ! Face à l’augmentation des vols, quelles sont les nouvelles armes des magasins ?

« Capital » en replay

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