« Sale race » : un documentaire théâtral pour enfin regarder le mot « Race » en face ! Ce vendredi 12 mai 2023 sur France 5 (bande-annonce)


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« Sale race » : un documentaire théâtral pour enfin regarder le mot « Race » en face ! Ce vendredi 12 mai 2023 sur France 5 (bande-annonce). Le 10 mai est la Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leur abolition.

« Sale race »
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« Sale race » : présentation

Pour sortir de nos zones d’ombre et de nos réflexes les mieux partagés, Tania de Montaigne nous propose de regarder enfin le mot Race en face. Sous forme d’une fausse conférence orchestrée par Stéphane Foenkinos et teintée d’une drôlerie cruelle, Sale race nous propose un voyage au cœur de nos préjugés, mêlant la petite et la grande histoire.

Sale race est un spectacle vivant à la croisée du théâtre et du documentaire, mêlant interaction avec le public, archives et lectures de textes fondateurs par huit invités prestigieux : Sophia Aram, Hugo Bardin Aka Paloma, Théo Curin, Amir Haddad, Lucien Jean-Baptiste, Valérie Karsenti, Paola Locatelli et Liliane Rovère.

Cette adaptation de l’œuvre de Tania de Montaigne pour le petit écran, dans la prolongation d’une réflexion sur le racisme qui a donné lieu à deux livres, Noire, la vie méconnue de Claudette Colvin et L’Assignation, les Noirs n’existent pas (éditions Grasset) et de deux pièces de théâtre, se propose de faire rire et de réfléchir à la fois !


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Bande-annonce

à PROPOS

83 min – Réalisation François Hanss – Production JE Films, Estelle Sanson & Juliette Favreul Renaud, 984 Productions, Arnaud Bertrand, Matcha Prod, Mathieu Hucher

Juste après…

Dès 22h30 « La femme sans nom, l’histoire de Jeanne & Baudelaire »

La Femme sans nom raconte l’histoire de Baudelaire et de Jeanne, une femme noire dont on ne connaît pas le véritable nom et un poète blanc immensément connu. Aveuglés par leurs préjugés racistes, les historiens et biographes du poète du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui se sont acharnés sur Jeanne. Ce film a pour ambition de réhabiliter celle qui a inspiré quelques-uns des plus beaux poèmes de la langue française.

La femme sans nom a pour point de départ l’œuvre de Gustave Courbet L’Atelier du peintre, allégorie réelle, peinte en 1855, exposée à Paris au musée d’Orsay, où la silhouette de Jeanne Duval, effacée du tableau par Courbet lui-même, réapparaît à la surface comme un fantôme. Elle est un «repentir», terme utilisé pour illustrer un tel phénomène physico-chimique, symbole de son effacement de l’histoire et de la mémoire, et de l’intérêt qu’elle suscite aujourd’hui.

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