Arte rend hommage à Jean-Louis Trintignant ! (mise à jour)


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Arte rend hommage à Jean-Louis Trintignant (mise à jour). Suite au décès de Jean-Louis Trintignant, Arte rend hommage à l’acteur à la fois sur son antenne mais aussi sur ses plateformes numériques.

Arte hommage Jean-Louis Trintignant
Arte

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Arte rend hommage à Jean-Louis Trintignant !

Suite au décès de Jean-Louis Trintignant, survenu aujourd’hui à l’âge de 91 ans, la chaîne propose sur son site internet Arte.TV les hommages suivants :

– « C’est quoi Jean-Louis Trintignant ? » : L’équipe de « Blow up » lui avait consacré un portrait à retrouver en cliquant ICI


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– « Le Combat dans l’île » un film d’Alain Cavalier dans lequel il jouait aux côtés de Romy Schneider. Clément (Jean-Louis Trintignant) et Serge, son meilleur ami, appartiennent à un réseau politique clandestin. Ils préparent un attentat qui échoue. Clément découvre qu’il a, en réalité, été trahi par Serge. Clément et sa femme (Romy Schneider) fuient se réfugier chez un ami d’enfance. Pour se venger, Clément part retrouver Serge en Argentine, laissant sa femme avec son ami. Un film à (re)découvrir en cliquant ICI.

Autres hommages

Mercredi 22 juin 2022 dès 20h55 « Le Train » de Pierre Granier-Deferre avec Jean-Louis Trintignant, Romy Schneider, Nike Arrighi, Régine.

Mai 1940. Alors que la Wehrmacht s’apprête à fondre sur la France, Julien Maroyeur, réparateur de radios dans l’est du pays, décide de fuir avec sa famille. À la gare, il est séparé de sa femme, envoyée en première classe avec leur fille. Julien fait le voyage dans un wagon à bestiaux bondé, où il croise le regard de la mystérieuse Anna… Par le prisme de l’intime, le cinéaste capte l’atmosphère incertaine de l’exode, entre bombardements mortels, pique-nique au bord de l’eau et fous rires collectifs affranchis des barrières sociales. Dans le rôle des deux amants de la débâcle, Jean-Louis Trintignant et Romy Schneider, un couple aussi émouvant que magnétique.

Mercredi 22 juin 2022 dès 22h35 « Trintignant par Trintignant », un documentaire de Lucie Cariès et Yves Jeuland

« Avec Delon et Belmondo, il a fait partie du trio d’acteurs français le plus sollicité par les metteurs en scène, en France et en Italie. Au cinéma, il a été l’anti-héros du Conformiste de Bernardo Bertolucci, le juge obstiné de Z de Costa-Gavras, le truand marginal de Regarde les hommes tomber de Jacques Audiard, mais aussi l’inoubliable amant d’Un homme et une femme de Claude Lelouch ou le bouleversant vieil époux d’Amour de Michael Haneke. Sur les planches, il a joué Shakespeare et Tennessee Williams, lu, avec sa fille Marie, Prévert et Apollinaire, ces poètes qui, à l’adolescence, lui ont donné le goût des mots et de la scène. Quand, après des petits rôles, Roger Vadim le dirige en 1956 dans Et Dieu… créa la femme, le débutant au sourire timide crève l’écran. Après Brigitte Bardot, avec laquelle il a une courte idylle, l’acteur partage l’affiche avec les plus grandes actrices, de Jeanne Moreau à Anouk Aimée, de Fanny Ardant à Emmanuelle Riva et, bien sûr, Romy Schneider, dont il tombe amoureux sur le tournage du Train de Pierre Granier-Deferre… Des années de jeunesse à celles de la maturité, Trintignant, 90 ans aujourd’hui, se montre tour à tour malicieux, grave, enjôleur, inquiet et élégant toujours… Plongeant dans plus de soixante-dix ans d’archives, Lucie Cariès et Yves Jeuland retracent la carrière d’un comédien multirécompensé : Ours d’argent à la Berlinale en 1968 pour L’homme qui ment d’Alain Robbe-Grillet, Prix d’interprétation à Cannes l’année suivante pour Z de Costa-Gavras ou César du meilleur acteur en 2012 pour Amour de Michael Haneke. Au fil d’interviews et d’extraits de ses films, pièces et lectures, se dévoile derrière l’acteur l’homme marqué par les drames – la mort de ses deux filles, l’opprobre jeté sur sa mère, tondue à la Libération… – qui s’est réfugié dans une quête douce de beauté et les passions solitaires, des courses automobiles au poker, de l’amour de la poésie à la viticulture ».