« Capital » et « Enquête exclusive » du dimanche 29 mai 2022 : au sommaire de vos magazines ce dimanche soir


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« Capital » et « Enquête exclusive » du dimanche 29 mai 2022. Ce dimanche soir sur M6, vous avez rendez-vous avec  « Capital » puis « Enquête exclusive ». Egalement en replay sur 6PLAY. Découvrez maintenant le sommaire et les reportages de vos deux magazines d’information.

« Capital » et « Enquête exclusive » du dimanche 15 mai 2022
© Nicolas BETS/M6

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« Capital » et « Enquête exclusive » du dimanche 29 mai 2022 : sommaire et reportages
« Capital » dès 21h10 : Jardins et balcons : plantez, décorez et économisez !

Fruits et légumes : et si je jardinais pour faire pousser les économies ?
Dans les dépenses alimentaires, s’il y a bien un poste qui a flambé, c’est celui des fruits et légumes : +10% en deux ans ! Pour un ménage français qui consomme en moyenne 174 kg de ces produits frais par an, c’est un budget qui dépasse désormais cinq cents euros. Imaginez maintenant le plaisir de cultiver au naturel et de récolter vos propres fruits et légumes du jardin tout en faisant des économies… c’est toute la promesse d’un potager chez soi ! Ce loisir qui joint l’utile à l’agréable connaît un vrai regain d’intérêt, avec 30 % d’adeptes de plus en cinq ans. Mais ces nouveaux jardiniers ont beau être débutants, ils n’en sont pas moins exigeants. Ils veulent un potager sain, facile, qui demande peu de travail et surtout très productif ! Un créneau bien repéré par certains acteurs de ce marché : ils proposent des solutions pour cultiver partout, même sur un simple balcon, en évitant au maximum les corvées. Semis et plants, équipements dédiés, quelles innovations sont conçues pour permettre au jardinier novice de lancer son potager ? Peut-on s’équiper sans se ruiner, ni même polluer ? Les promesses d’économies, jusqu’à cent euros par mois, sont-elles vraiment au rendez-vous ? Et faut-il forcément avoir la main verte pour faire pousser son pouvoir d’achat ?

Botanic, la jardinerie « écolo » qui rapporte gros !
Depuis deux ans, avec le confinement et l’envie de décorer son jardin ou son balcon, le marché des plantes et des fleurs progresse de manière vertigineuse : plus de 20% ! Si de nombreuses enseignes comme Jardiland ou Gamm’ Vert, les leaders du secteur, profitent de cette embellie, c’est leur outsider, Botanic, qui tire le mieux son épingle du jeu. En ce moment, il multiplie l’ouverture de nouveaux points de vente. Derrière la fulgurante progression de ces soixante-quinze magasins en France, il y a un patron savoyard amoureux des montagnes et de la forêt, Luc Blanchet, 53 ans. Un businessman avisé et un homme de conviction. Bien avant les autres enseignes, il a misé sur le développement durable avec des partis pris radicaux. En 2008, il supprime de ses rayons les pesticides et les engrais chimiques faisant une croix sur un chiffre d’affaires de deux millions d’euros ! Compenser cette perte lui prendra plusieurs années. Mais il marque les esprits et ces choix environnementaux lui ont permis de cultiver une fibre « écolo » et d’attirer une clientèle soucieuse de faire un achat « bio » ou « raisonné ». Aujourd’hui, Botanic met la main sur des établissements concurrents, s’accole à des grandes surfaces de bricolage et gagne des parts de marché. Comment l’enseigne s’y prend-elle pour maintenir sa croissance ? Et question prix, le consommateur s’y retrouve-t-il ? Enquête sur l’offensive hexagonale de cette jardinerie à l’image plus « verte » que ses concurrents.

Jardin de rêve : épatez vos voisins sans dépenser trop
Avec les beaux jours, le jardin est plus que jamais devenu la 5e pièce de la maison. On peut y recevoir famille et amis dans une ambiance décontractée, confortable mais surtout aussi design que l’intérieur de notre salon. Et l’offre pour décorer notre extérieur n’a jamais été aussi large : bar de jardin, sculptures d’animaux à prix cassés, torches solaires, figurines etc. viennent embellir nos carrés de pelouse. Il y en a pour tous les budgets : de trois cent euros pour des équipements les plus simples, à plusieurs milliers d’euros pour faire de ce lieu un club de vacances, rien que pour vous. Ce marché de la décoration de jardin représente un chiffre d’affaires de trente-quatre millions d’euros. Têtes de bouddha, gorilles bondissant ou nains de jardins souriants, quelles sont les nouvelles tendances cette année ? Où les fabricants trouvent-ils l’inspiration ?


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« Enquête exclusive » dès 23h10 : Santé, bien-être : charlatans et nouveaux gourous

Aujourd’hui, un Français sur trois prend soin de lui pour être en forme physiquement et mentalement. Le marché du bien-être et de la santé naturelle, qui a explosé avec la pandémie, représente désormais trente-sept milliards d’euros. Parmi ceux qui en profitent, des guérisseurs, des thérapeutes alternatifs, des naturopathes extrémistes. Parmi eux, beaucoup de gourous et de charlatans qui promettent de retrouver la forme avec des jus de légumes, une alimentation 100% crue, des purges ou un jeûne sec. Certains, adeptes de l’anti-médecine, promettent même de guérir toutes les maladies grâce à des régimes parallèles.

Éric organise des stages de « prana », énergie vitale universelle selon la spiritualité indienne. Son objectif : apprendre à se nourrir d’air et de lumière. Pas de nourriture, ni d’eau pendant plusieurs jours. Une pratique décriée par la médecine classique. Éric s’inspire de l’Australienne Jasmuheen, chef de file de ce mouvement, qui affirme ne rien avoir mangé depuis vingt-quatre ans !

Bernard, lui, prône la libération des émotions et prétend qu’aucune maladie n’est incurable. Pour guérir du cancer ou du covid, il suffit, selon lui, d’écouter son corps et de se reconnecter à son énergie intérieure.

Camille a engagé une bataille judiciaire contre le naturopathe qu’elle estime responsable du décès de son mari. Atteint d’un cancer des testicules, il a refusé les traitements classiques comme la chimiothérapie, suivant les conseils de son naturophate, l’un des protégés d’Irène Grosjean, surnommée « la papesse du cru ». Finalement hospitalisé, il n’a pas survécu à ce cancer qui se soigne très bien, s’il est pris à temps.

Pour enquêter sur les dérives du marché du bien-être et de la santé naturelle, une cellule spécialisée de la police judiciaire a été créée. Les affaires se multiplient, mais les enquêtes peuvent durer plusieurs années.
Face à l’ampleur du phénomène, des associations se mobilisent aussi pour alerter sur les dangers de ces mouvements pseudo-thérapeutiques. Nous avons rencontré un collectif qui traque les nouveaux gourous de la santé sur leur terrain de jeu favori : internet et les réseaux sociaux.

Plongée dans l’univers inquiétant de ces pseudo-guérisseurs en tous genres.

« Capital » et « Enquête exclusive » en replay

« Capital » et « Enquête exclusive » c’est aussi en streaming vidéo puis en replay sur 6PLAY.