« Capital » et « Enquête exclusive » du dimanche 16 janvier 2022 : au sommaire de vos magazines ce dimanche soir


ANNONCES

« Capital » et « Enquête exclusive » du dimanche 16 janvier 2022. Ce dimanche soir sur M6, vous avez rendez-vous avec  « Capital » puis « Enquête exclusive ». Egalement en replay sur 6PLAY. Découvrez maintenant le sommaire et les reportages de vos deux magazines d’information.

« Capital » et « Enquête exclusive » du 2 janvier 2022
© Nicolas BETS/M6

ANNONCES

« Capital » et « Enquête exclusive » du dimanche 16 janvier 2022 : sommaire et reportages
« Capital » dès 21h10 : Immobilier : enquête sur les meilleurs bons plans pour placer ou acheter

Ruée vers les villes moyennes : quand les prix flambent, faut-il encore acheter ?

Depuis le confinement, des milliers de Français se ruent des grandes agglomérations vers les villes moyennes pour y trouver un meilleur cadre de vie. Et cela contribue bien sûr à faire flamber les prix : +19% à Metz (Moselle) en un an, +17% à Vannes (Morbihan) ou Tourcoing (Nord). Cadre de vie à taille humaine, offres d’emplois et de services comparables aux grandes villes mais sans leurs inconvénients, les villes moyennes ont toutes les vertus ! Principale cible recherchée : les maisons avec espace vert. En moyenne, il faut presque six ans pour rentabiliser un achat immobilier, mais dans ces villes où les prix flambent, est-ce que cela vaut encore le coup… et le coût d’acheter ? Dans quelles villes est-il préférable de rester locataire ? Et dans quelle mesure cette course aux villes moyennes crée-t-elle des tensions sur le marché immobilier, entre locaux et nouveaux arrivants ?

Acheter en viager : un bon plan mortel !


ANNONCES

12 600 euros pour un studio à Arcachon (Gironde), 28 000 euros pour un T3 à Marseille (Bouches-du-Rhône), 20 000 euros pour une maison à Nîmes (Gard) ! Non ces prix ne dissimulent pas des arnaques mais un système de vente immobilière méconnu : le viager. Il consiste à acheter un bien d’une personne âgée, à lui payer une somme d’argent en général très raisonnable dès la signature de l’acte de vente, et à lui verser ensuite, tous les mois, une rente jusqu’à son décès. Un pari sur la vie en quelque sorte. Si le vendeur décède prématurément, l’acheteur fera une excellente affaire. Mais dans tous les esprits, on redoute l’exemple de Jeanne Calment qui a vendu sa maison en viager à son notaire et qui lui a survécu, laissant les héritiers de celui-ci payer la rente à la doyenne jusqu’à ses 121 ans. Ce que l’on sait moins, c’est que le viager a permis à trois anciens présidents de la République de faire de très belles affaires : c’est le cas du général de Gaulle, de Valéry Giscard d’Estaing et de François Hollande ! Depuis le confinement, la vente en viager jusqu’ici confidentielle a vu bondir les transactions de 20%. Alors, est-ce vraiment un bon plan immobilier ? Quels sont les risques ? Pourquoi suscite-t-elle aujourd’hui toutes les convoitises ?

Investir dans la pierre pour dix euros, oui c’est possible !

Sept français sur dix rêvent d’investir dans la pierre, qu’ils soient ou non propriétaires de leur logement principal. C’est le placement le plus plébiscité en France devant les livrets d’épargne, les assurances vies ou les actions en bourse. Peu de personnes se lancent vraiment dans l’investissement locatif, faute de maîtriser les aspects financiers, fiscaux, ou encore par peur de se retrouver avec un locataire mauvais payeur. Mais il existe aujourd’hui des solutions étonnantes pour se lancer dans l’investissement immobilier, à partir d’une mise de départ de seulement 10 euros ! Ces nouvelles formules « clés en main » promettent de vous verser de 4 à 11% d’intérêt, bien plus alléchant que le traditionnel livret A. Comment peut-on investir dans un immeuble ou même financer un programme de promotion immobilière avec seulement quelques centaines d’euros et en trois clics sur son téléphone ? Combien coûtent ces nouvelles plates-formes qui proposent de vous trouver un studio, de le remettre à neuf, et même de vous trouver un locataire en ayant rien à faire ? Quels rendements peut-on réellement espérer ? Quelle part de risque financier faut-il encore assumer ? Enquête sur la révolution de ces nouvelles formules.

« Enquête exclusive » dès 23h10 : Minorités, genres, racialisme : la nouvelle révolution américaine

Aux USA, un nouveau mouvement identitaire est en train de voir le jour. Sa mission : lutter contre les discriminations ethniques, sexuelles, de genre et imposer de nouvelles règles. Son nom : le « woke ». Être woke, c’est être conscient des discriminations subies par les minorités et du « privilège blanc ». Sur certains campus, il ne faut plus demander à un étudiant asiatique s’il peut vous aider en maths ou bien à un afro-américain s’il joue au basket. Personne ne doit se sentir stigmatisé.

À Denver (Colorado), de riches Américains blancs déboursent 500 dollars pour assister à des dîners durant lesquels on leur explique qu’ils sont racistes sans le savoir. Et cela s’étend dans tout le pays. À la mairie de New York, une commission spéciale traque les « micro-agressions » subies par les citoyens issus de minorités. Tenir la porte à une femme, supposée plus faible physiquement qu’un homme, peut être ainsi considéré comme une micro-agression.
Le mouvement woke entend orienter les citoyens dès le plus jeune âge. Dans certaines écoles, les programmes scolaires ont été modifiés pour que les petits Américains apprennent que le racisme est une institution dans leur pays. Gare à ceux qui s’élèvent contre cette nouvelle arme idéologique. Dans la célèbre université de UCLA (Californie), Gordon Klein, un professeur d’économie, est menacé de mort. Raison : il a refusé d’augmenter les notes de ses élèves noirs qui passaient un examen après le décès de George Floyd et qui, à ce titre, auraient été traumatisés. Il vit maintenant sous la protection du FBI. Désormais, ceux qui s’opposent à cette idéologie sont considérés comme racistes et se font « cancelled », c’est-à-dire éliminer socialement et lyncher sur les réseaux sociaux.

Au nom de la lutte contre les inégalités et de la réhabilitation des minorités, il est désormais possible de choisir son genre en fonction de son ressenti et non de critères biologiques. Veronica Ivy, championne du monde de cyclisme sur piste, était encore un homme il y a dix ans. Depuis son changement de sexe, elle remporte toutes les compétitions féminines. Si elle reçoit de nombreux témoignages de soutien, la sportive préfère vivre cachée pour éviter les attaques de ses détracteurs.
Ces politiques radicales et identitaires qui favorisent les minorités sont encore loin de faire l’unanimité. Même Terrence Floyd, le propre frère de George assassiné par la police, appelle à renouer avec l’universalisme et la tolérance.

Enquête sur une Amérique en pleine crise d’identité.

« Capital » et « Enquête exclusive » ce dimanche 16 janvier 2022 sur M6 et en replay sur 6PLAY.