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« Sale temps pour la planète » du 4 août 2021. La série documentaire emblématique de France 5, qui témoigne depuis 15 saisons de son engagement en faveur de l’environnement, vous donne rendez-vous ce soir, mercredi 4 août 2021, pour un nouveau numéro inédit.
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« Sale temps pour la planète » du 4 août : cette semaine « Cotentin, l’effet mer »
Derrière le Mont Saint Michel, le Cotentin regorge de merveilles. Des plages du débarquement, aux falaises du Nez de Jobourg, vieilles de 2 milliards d’années, c’est un voyage au bout du monde que nous offre ce département de la Manche.
Ce petit bout de France est cerné par les eaux. 350 kilomètres de littoral qui font vivre ce territoire normand, au gré des marées et des tempêtes. Mais, depuis 2010, les phénomènes extrêmes se multiplient et malmènent la façade occidentale de la presqu’île. C’est la plus exposée aux assauts de la mer. Entre érosion et submersion marine, des villes comme Gouville-sur-Mer, Agon-Coutainville ou Blainville-sur-Mer, essaient tant bien que maîtresse des lieux, pour d’autres, il faut tenir et s’arquebouter coûte que coûte ! La réflexion est en cours et si les élus et l’Etat vont au bout de leurs desseins, le Cotentin pourrait faire figure de référence, un pionnier en France pour cette nouvelle politique que veut mettre en place le gouvernement. Une politique plus résiliente à l’image des pêcheurs de bulots qui ont fait le choix d’instaurer des quotas pour limiter leur impact sur la ressource. Le réchauffement des eaux fait peser de graves menaces sur la reproduction de ce mollusque, produit phare de la baie de Granville.
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Et juste après..
Et juste après, soit dès 21h40, le numéro en rediffusion « Pays-Basque, péril en la demeure »…
Chaque année, le Pays Basque attire riverains et touristes sur ses 40 kilomètres de côte sauvage. Un décor de carte postale mais pour combien de temps encore ? A bien des endroits, la falaise s’effrite… Symbole de ce recul : la route de la corniche… Pour les experts du BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières), il faudra d’ici à 2050 trouver un plan B pour se rendre de Cibourre à Hendaye et déplacer cette route mythique. La ville de Biarritz, propriétaire de la majorité du cordon littoral, a décidé de protéger à tout prix ses infrastructures installées en bord de mer. Son patrimoine architectural reste un atout majeur pour le tourisme. L’idée serait de renforcer les protections contre les assauts des vagues et d’en limiter l’impact. Chaque année, le trait de côte recule de près d’un mètre. A Bidart, les élus locaux préfèrent éviter le choc frontal avec l’océan. Au plus grand désespoir parfois des riverains.
« Sale temps pour la planète » c’est mercredi soir dès 20h50 mais aussi en replay et streaming vidéo sur France.TV durant 7 jours.