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Capital : sommaire et reportages du dimanche 20 mai 2018. Ce soir à la télé, nouveau numéro du magazine Capital sur M6. Cette semaine le thème choisi est : Maison, balcon, jardin : s’équiper tendance… sans grosses dépenses ?
Gazon naturel ou synthétique, jeux de plein air et boom des jardineries urbaines sont notamment au programme. Pour en savoir plus, rendez-vous dès 21 heures sur M6 puis en replay et en streaming sur la page dédiée de 6Play.
Capital : sommaire et reportages du dimanche 20 mai 2018
Gazon naturel ou synthétique : ils vous déroulent le tapis vert !
C’est le rêve de tous ceux qui possèdent un jardin : une belle pelouse verte ! Un rêve jusque-là synonyme d’entretien non-stop. Aujourd’hui, de plus en plus de Français sont tentés par une nouvelle formule : la pelouse en rouleau. Simple et rapide à poser, prête à être arrosée, pour six euros le m² en moyenne. Aujourd’hui, le roi de ce gazon tout prêt s’appelle Arnaud Dugast. À la tête du leader français Cover Garden, il cultive 200 hectares de « gazonnière ». Une référence dans le sport : il fournit déjà les grands stades de football européens mais son nouveau pari c’est le marché des particuliers. Après Internet, il vient d’ouvrir sa première boutique, « 100% gazon », à Bordeaux. Le succès est tel qu’il souhaite le décliner en franchise. Comment compte-t-il convertir les Français à la pelouse impeccable des Anglo-saxons ? Nouveaux services d’entretien, garantie « evergreen », jusqu’où va se nicher la folie du gazon toujours vert ? Plus surprenant encore, le boom du gazon synthétique. Plus cher, 15 euros le m², il présente toutefois de sérieux atouts : vert douze mois par an, il ne nécessite aucun entretien et la ressemblance avec le gazon naturel est frappante. Rudy Cassenac, fondateur du numéro 1 français Exelgreen, en vend près d’1 million de m² par an. Que vaut cette nouvelle alternative très tendance ? Le gazon synthétique est-il l’avenir de nos jardins ?
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Les jeux de plein air à la conquête de votre jardin
Pour éloigner les enfants de leurs écrans, rien ne vaut les jeux de plein air : toboggans, balançoires, trampolines ou maisonnettes… Avec le retour des beaux jours, les jeux de plein air envahissent nos jardins et les acteurs de ce marché se frottent les mains. Le secteur pèse aujourd’hui plus de 400 000 millions d’euros. Parmi les fabricants leaders, les historiques Soulet et Smoby, qui rivalisent d’imagination pour se réinventer. Les premiers ont créé « le Chambord », une gigantesque structure en bois qui mêle toboggan, cabane et balançoire, et coûte la bagatelle de… 3 000 euros ! Quant à Smoby, l’enseigne a inventé la fameuse « friends house », best-seller du marché, écoulée à 11 000 exemplaires l’an passé en France. Comment les mastodontes du jeu de plein air font-ils pour se démarquer et s’imposer dans cette course à l’innovation ? Alors que de grandes enseignes emblématiques (Toys’R’Us, La Grande Récré…) mettent la clé sous la porte face à l’assaut du e-commerce, de nouveaux venus émergent. C’est le cas notamment de Oogarden qui ambitionne de devenir le Decathlon des jardins en misant sur un rapport qualité/prix imbattable. Comment les fabricants se battent-ils pour être en bonne place dans les magasins de jouets ? Quels sont leurs arguments pour séduire les enfants et convaincre les parents ?
Du vert en ville : le boom des jardineries urbaines
S’offrir une bulle de verdure chez soi quand on habite en ville, aujourd’hui c’est possible. Sur leur balcon ou dans leur salon, près de 12 millions de foyers urbains jardinent ! De petites startup l’ont bien compris : à Paris, Bordeaux ou Lille, elles proposent des plantes lors de ventes flash à des prix dérisoires ! Cette tendance forte n’a pas échappé non plus au géant du secteur Truffaut. L’enseigne a ouvert deux « jardineries urbaines » depuis novembre, en centre-ville de Boulogne (Hauts-de-Seine) et de Toulouse (Haute-Garonne). Et une trentaine d’autres ouvertures sont prévues. Le concept : une surface quatre à six fois plus petite que celle des magasins de périphérie, et une offre spécifique. Parmi les meilleures ventes, les « carrés potagers » qui prennent les apprentis jardiniers par la main pour leur permettre de récolter leurs propres aromates ou mini-légumes. Cerise sur le gâteau, ces potagers déclenchent de nombreux achats d’accessoires et attirent une clientèle plus jeune qui découvre une nouvelle activité ludique pour les enfants. Ateliers d’initiation, produits innovants, mise en scène des magasins : avec quels arguments ces jardineries de centre-ville comptent-elles séduire les urbains ? Comment leurs fournisseurs s’y prennent-ils pour développer des produits adaptés ? Et comment la concurrence réagit-elle, à Toulouse par exemple où « Le parfait jardinier », jardinerie historique du centre, a vu Truffaut s’installer à quelques centaines de mètres ?
Capital : teaser vidéo de l’émission du dimanche 20 mai 2018
En attendant de découvrir l’émission, en voici quelques images avec le teaser vidéo
Maison, balcon, jardin : s’équiper tendance… sans grosses dépenses ? 🤔
On se retrouve demain, à 21h sur @M6 ! 🌻 pic.twitter.com/r5DYSmVR9i— Capital (@CapitalM6) 19 mai 2018